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Le Nouvel Hôpital de Lens, le premier hôpital digital de nouvelle génération en cours de construction

Le nouvel Hôpital de Lens, a été conçu en 2016 comme un hôpital digital et ouvert sur le développement durable. Bénéficiant des expériences accumulées en France et à l’étranger par la société Leader Health de Genève, le programme très précis de ce nouveau bâtiment pensé comme un « hub » sur son territoire a permis à une équipe regroupée autour de MBA, SETEC, OASIIS et F BOUGON de répondre à un challenge sans précédent en France. L’ouverture de l’édifice prévue en 2021, va faire de ce projet une référence française mais aussi internationale.
Dans le cadre de ce calendrier de travail extrêmement court, l’Hôpital et la Maitrise d’œuvre avancent à marche forcée, en mettant en place tous les dispositifs préalables qui vont permettre au futur bâtiment d’atteindre l’objectif.
Ainsi sans attendre que les fondations en béton soient coulées, la Direction a décidé de revoir en profondeur ses fondations numériques pour s’orienter vers le choix d’un ERP leader, ouvert sur le territoire et le digital. Décidé lors du Schéma Directeur du CH de Lens et du GHT, tous les deux réalisés avec l’aide de Leader Health, le choix de la solution Cerner Millenium s’est imposé à l’issue d’un dialogue compétitif conduit par nos experts. Le projet N@HO mobilise aujourd’hui plus de 25 professionnels de santé pour le seul CH de Lens, et plus de 4500 jours de l’éditeur pour garantir une livraison et un fonctionnement sans défaut dans les délais. Le projet a non seulement comme objectif d’innerver le futur hôpital, mais sans attendre il va permettre aux sites formant le GHT d’Artois de travailler de manière fluide autour d’un parcours patient coordonné dans un projet médical partagé opérationnel.
Pour donner toute sa pleine puissance à ce projet immobilier et au nouveau système d’information, la Direction Générale a souhaité aller plus loin encore que le décret d’avril 2016 portant sur les GHT dans la recherche de solutions communes, efficientes, digitales et écologiques.
Ainsi le Centre Hospitalier de Lens s’est attaqué à la dématérialisation complète des archives médicales et administratives « papier ». Ce projet qui arrive aux termes de ses études et va passer en phase pratique, a été managé par la Direction, Leader Health et les Archives Départementales, aidés par un Comité des sages et les experts médicaux du DIM de Territoire. Le projet « zéro papier » a permis d’ores et déjà la suppression de plus de 1000 m2 de locaux neufs (soit une économie estimée de plus de 2 M€) et surtout va permettre aux patients évoluant dans les parcours coordonnés des hôpitaux du GHT de disposer de toute l’information dématérialisée 24/24. En effet le projet « zéro papier » ne se limite pas au seul nouveau bâtiment mais également tous les hôpitaux du GHT vont profiter de cette nouvelle technologie. Il s’agit là tout simplement d’une première en France.
La conjonction du projet N@HO et du projet « zéro papier » permettra d’envisager avant l’ouverture de l’hôpital neuf le niveau 7 HIMSS, sur tout un GHT, mais aussi d’imaginer une offre de soins de nouvelle génération utilisant toutes les nouvelles technologie (E-Health).
Cette volonté, de mettre en place dès à présent, tous les composants d’un hôpital 3.0 voulu comme « digital par conception », et de réutiliser le maximum de technologies éligibles pour les autres sites non reconstruits du GHT, sont deux marqueurs des gènes de l’hôpital de Lens.
Les autres opérations comme la géolocalisation des biens et des personnes, la robotisation des flux d’avitaillement en mode « flux tendus » vont être les prochaines étapes du projet. L’hôpital de Lens dont l’APD a démarré avance vite et bien, avec une volonté inégalée de doter la Région des Hauts de France et le Territoire de l’Artois d’une offre de santé à la pointe de la technologie, mais non déshumanisée puisque le patient et les personnels restent au centre des préoccupations et des arbitrages. Un exemple à suivre.

 


Des robots et des hommes : un vrai roman pour l’été!

Un consultant Leader Health, un ami de plus de 20 ans vient de publier son premier roman disponible chez Amazon en format Kindle ou broché :

https://www.amazon.fr/Lunivers-robots-Michel-ROMERO/dp/2956105019

Le constat est simple, désormais, les robots partagent l’univers des humains, et le début de cette cohabitation est une source intarissable d’histoires insolites et d’épisodes plus surprenants les uns que les autres. Ce recueil de trois nouvelles, dans le style ‘’policier du futur’’, en est une illustration facétieuse qui se veut juste amusante et agréable à lire… ET … c’est le cas ! Ces trois nouvelles se dégustent sans modération. La première nous projette dans l’univers de l’industrie de la robotique, dont le côté sombre, matérialisé par le projet « mikado », menace la stabilité des équilibres économiques et sociétaux. Au lecteur de démêler l’intrigue policière liée un assassinat dont le principal suspect est un robot domestique. La seconde nouvelle nous amène dans une station minière installée sur la Lune où un meurtre vient d’avoir lieu et la police est obligée de confier les premières constatations de cette affaire à un androïde qui ne tarde guère à découvrir le coupable mais lorsque la police peut enfin arriver sur place, un événement imprévu se produit … La troisième nouvelle, « un syndicat de robots », nous fait découvrir que l’intégration des robots dans le monde du travail ne sera pas aussi simple. Les robots semblent suffisamment évolués pour prendre la place des humains dans l’entreprise et menacent l’avenir du syndicalisme jusqu’à ce qu’une série d’accidents sur les différents chantiers va tout remettre en question. C’est finalement Markus, l’un des androïdes, qui va apporter un éclairage surprenant et pour le moins déroutant …

Merci Michel pour ces pépites.


Les rencontres de la E-Santé : Océan Indien

LES RENCONTRES DE LA E-SANTÉ OCÉAN INDIEN: Du 5 au 7 octobre 2016
Trois jours de conférences et d’ateliers à La Réunion pour échanger autour des enjeux de la transition numérique en santé
Portées par l’Agence de Santé Océan Indien et le GCS e-santé Tesis, les Rencontres de la e-Santé Océan Indien se tiendront sur l’île de La Réunion au cours de la première semaine du mois d’octobre.
La région Océan Indien accueille pour l’occasion Monsieur Thierry Courbis (DG Leader Health, Suisse) en qualité de grand témoin, ainsi que les plateformes Odyssée (Ile de France), Arespa (Franche-Comté) et Santé Landes (Aquitaine). La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) poursuit son tour des régions et arrête son prochain rendez-vous « 36 Heures Chrono » à La Réunion.
Stratégie nationale 2020, télémédecine, impacts du numérique sur les professionnels libéraux, hôpitaux connectés, coordination en santé, programme OIIS : l’actualité e-santé sera au cœur des ateliers et conférences animés par des acteurs locaux et nationaux.
Vous avez envie de nous rencontrer ? L’inscription est indispensable via le formulaire ou par téléphone : Rencontres de la e-Santé Océan Indien

 

 


A l’initiative de l’Hôpital de Saint Brieuc…

A l’initiative de l’Hôpital de Saint Brieuc (France), établissement support de la GHT d’Amor, une étude d’opportunité, ouverte et indépendante a été lancée pour analyser les avantages et les inconvénients à la mutualisation de plusieurs fonctions logistiques. Bien connue dans d’autres secteurs, la mutualisation logistique consiste à massifier les flux de plusieurs hôpitaux d’un même territoire pour réduire les coûts et accroître la qualité de service. A l’hôpital, le concept est encore novateur, mais profitant du nouveau cadre de coopération ouvert par la loi française, elle s’imposait dans un territoire en proie à des difficultés majeures d’investissement. La société LEADER HEALTH et ADOPALE ont été retenues pour réaliser cette étude qui va durer 6 mois et associer tous les hôpitaux volontaires du GHT.


Fédération Suisse des Directeurs d’Hôpitaux et Cliniques

14322239_1118153774936784_4908373577224066362_nDeux belles journées au congrès annuel de la Fédération Suisse des Directeurs d’Hôpitaux et Cliniques (http://www.fsdh.ch/news). Avec Louis Omnès nous avons introduit notre vision d’hôpital digital devant un parterre de décideurs intéressés. Si la Suisse décide d’investir dans ce domaine, avec l’excellence de leur système de santé et la vitalité de leurs grandes écoles, la boussole de l’innovation marquera le cap vers le Léman ! Leader Health implantée depuis 10 ans en Suisse sera là pour vous aider à réussir ce challenge. Merci aux organisateurs pour l’invitation, et bravo pour la qualité des intervenants : du grand navigateur talentueux Bernard Stamm, jusqu’à la carte génétique du projet Swiss 2030 en passant par les prothèses connectées et l’analyse sociétale de la transformation digitale c’était « tout bon ». A l’année prochaine, Schuss!


Le Groupement des Hôpitaux de Mulhouse et Sud Alsace retient Leader Health

14370212_1118198521598976_2319096186416453822_n 14354967_1118196421599186_6623408107766739114_nAuditer un projet stratégique qui bat de l’aile et apporter des solutions à la mise en place d’une vraie informatisation du dossier patient sur tout un territoire. Le Groupement des Hôpitaux de Mulhouse et Sud Alsace retient Leader Health pour son expertise réelle en matière de systèmes d’information médicaux, sa compétence dans l’analyse des marchés et contrats industriels et l’évolution vers les GHT.


Le partenariat Hospital ONE Signé à Tuttlingen

89eb2b66-ddb7-4974-abf9-44fb8fac7df6Les sociétés KARL STORZ, Medplan, Leader Health et AIA SWISS signent le partenariat Hospital ONE en date du 26 juillet 2016 à Tuttlingen en Allemagne.


On parle de Leader Health sur l’Hôpital du futur: 3 questions à Thierry Courbis dans Chroniques d’Architecture

Hôpital du futur - Leader HealthQuel modèle de financement ? Quels modèles à l’étranger ? Quels sont en France les freins au développement de l’hôpital digital ? Thierry Courbis a exercé durant plus de 20 ans en France et à l’étranger dans tous les métiers de Direction de grands hôpitaux. Il est aujourd’hui Directeur Général de Leader Health, une société de conseil et d’assistance stratégique à Maîtrise d’Ouvrage spécialisée notamment dans la transformation digitale.* Chroniques : Le modèle de l’hôpital central où sont concentrées les fonctions est-il condamné ?

Thierry Courbis : L’économie classique de concentration peut encore fonctionner, selon son histoire et sa localisation, mais elle est de toute façon affectée par le nouveau modèle numérique. Par exemple, l’hôpital du Mount Sinaï à New York regroupe sept hôpitaux mais si, auparavant, les liens entre eux étaient physiques et se traduisaient dans l’espace, aujourd’hui, avec l’ajout de réseaux coordonnés avec nombre d’hôpitaux affiliés, Mount Sinaï fonctionne désormais comme un hub. Il en est de même pour Cleveland Clinic, autre référence internationale. Ce nouveau modèle est donc celui de la coordination de l’intelligence collective. Seules les technologies numériques peuvent permettre la constitution opérationnelle de ce réseau.

Prenons en compte un facteur important qui peut se traduire en coût du m². Pour soigner, le m² le moins cher est celui du logement, puis celui de la structure intermédiaire, puis celui de l’hôpital. Or la chirurgie est de moins en moins sanglante, de moins en moins invasive, le succès du robot de chirurgie mini-invasive Da Vinci, utilisé par une cinquantaine d’établissements en France depuis 2008, en témoigne. Cet outil permet de réaliser des interventions lourdes tout en n’effectuant que de petites incisions avec en corollaire des bénéfices réels pour le patient. Pour les opérations de la prostate par exemple, le robot fait montre, logiquement, d’une dextérité inégalée, d’autres machines proposent  des protocoles opératoires innovants : en gynécologie, en neurochirurgie. La technologie devient non seulement moins invasive, mais aussi se délocalise. On peut opérer à distance.  Aujourd’hui, à l’IHU de Strasbourg, des équipes de pointe travaillent sur des technologies mini invasives guidées par l’image pour permettre des incisions de plus en plus faibles (voire des passages par voies naturelles) et des coupes de plus en plus fine. Ces équipes ont déjà réalisé des interventions à distance. Nul doute que demain, elles pourraient offrir un service au domicile, dans un logement préparé pour cela.

L’économie des projets et la fonction de production de l’hôpital et des cliniques se trouvent transformées par la révolution digitale. D’une part, la médecine devient hybride, associant l’art de médecine à l’art de l’ingénieur. Chaque spécialiste peut voir son champ d’intervention élargie. Quelle révolution lorsque la technologie a permis à un radiologue d’être désormais capable de faire des interventions chirurgicales ! Aujourd’hui on va plus loin, plus vite, on utilise des réalités augmentées. A la lumière des derniers grands projets français, c’est-à-dire les futurs CHU de Nantes et Caen et les deux nouveaux hôpitaux d’Epinal – Golbey et de Lens, il est nécessaire de lancer un débat en France afin de dégager les grands axes de réflexion qui permettront de définir un hôpital digital dès la phase de conception. Ce débat est indispensable pour faire évolue les paradigmes.

Le mot Révolution est souvent utilisé pour décrire les évolutions conceptuelles en cours dans le domaine hospitalier. Ce mot est-il judicieux ?

Sinon à une révolution, les maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre doivent se préparer à une transformation radicale. Travaillant sur le nouveau  projet du bâtiment des urgences  des Hôpitaux Universitaires de Genève, nous avons relaté la révolution digitale des urgences dans certaines HMO américaines où les consultations non programmées réalisées à distance représentent d’ores et déjà 18% du marché et sont facturées deux fois moins chères.

Ce ne sont pas les seuls axes de recherche. En Norvège, les décideurs calculent désormais l’amortissement non pas en considérant l’hôpital comme un bâtiment avec une mission mais comme un «bien public» réutilisable. Après son cycle de vie, l’hôpital sera délocalisé, mais le bâtiment servira de cité universitaire ou de logement social. Ailleurs, suivant le modèle des «layers» on va prendre en compte les différentes durées de vie des bâtiments selon leurs fonctions, 15 ans pour un laboratoire, 50 ans pour une chambre, etc. Et on va adapter les techniques de construction à ces cycles différents.  Cela permet de reconstruire régulièrement les sous-ensembles fonctionnels et donc d’être plus flexible. Toutes ces considérations   affectent la conception architecturale des ouvrages, mais avant cela c’est à la maitrise d’ouvrage d’innover, et de voir loin.

Un autre exemple connu,  à Groningen, aux Pays-Bas où les opérateurs ont mis au point un cycle de construction permanent, un hôpital phénix, jamais fini mais réinventé en permanence en fonction des besoins ou des évolutions technologiques. Dans ce cas encore il faut envisager une nouvelle façon de concevoir l’hôpital.

Quels sont, en France, les freins à cette transformation ?

En France, l’une des difficultés vient de la phase de programmation. La recherche du programmiste est guidée suivant un cahier des charges souvent très traditionnel.  J’ai en tête un grand projet de reconstruction d’un CHU parisien où la demande exprimée pour le volet «digital» tenait en moins d’une page (et encore il était présent !) alors que les besoins pour la cuisine ou les laboratoires étaient hypertrophiés. Est-ce que cela traduit un moindre intérêt ? Non bien sûr, cela témoigne  simplement que les maitrises d’ouvrage savent depuis longtemps exprimer leurs besoins de base mais ont des difficultés à se projeter vers l’innovation. Dès lors le programmiste va proposer ses services en se calant sur la demande du maitre d’ouvrage et … son programme sera au final la traduction de cet état de fait.  Comme le programme est la base du futur cahier des charges de construction, il ne faut pas s’étonner que les approches françaises restent frileuses et peu innovantes, à l’exception de maitres d’ouvrage éclairés, ayant la conviction et le leadership nécessaire pour faire passer leur vision modernistes avant d’autres considération.

Par ailleurs, une autre difficulté tient également au fait de l’instabilité du management français. Trop souvent, chaque changement de direction donne lieu à une nouvelle version du projet, jusqu’à quatre parfois, ce qui tend à paralyser les projets.

Enfin, le modèle de financement français me semble peu adapté. On se souvient par exemple que dans un premier temps, le paiement était à la journée et à l’acte, ce qui a entraîné des dérives, l’intérêt étant alors de garder le malade et de multiplier les actes. Ce qui explique que dans un deuxième temps fut mis en place un système de dotation globale qui s’est révélé bientôt une rente de situation déliée de l’activité ; les hôpitaux qui voyaient une augmentation de leur activité étaient pénalisés. D’où ensuite le forfait à la pathologie  (par cas traité) la fameuse «T2A» inspirée des modèles américains des paiements par DRG. Ces modalités de financement ont encouragé la spécialisation et le productivisme tandis que l’excellence et l’innovation se retrouvaient à nouveau pénalisées, les tarifs des interventions rares étant peu représentatifs des coûts réels.

Pour le coup, les actes difficiles et innovants sont les plus mal rémunérés. Dans le modèle français de la T2A par exemple, le financement des activités de télémédecine est bloqué. Des expériences ont lieu, mais nous sommes loin d’incitateurs économiques pour innover. La T2A pousse l’hôpital à «tourner vite» mais elle lui interdit de ne pas «tourner». Il faut alimenter la machine. La prévention, l’innovation, la coordination d’un réseau, les soins à domicile sont autant de secteurs mal financés.

Il est permis d’imaginer qu’à l’avenir, puisque l’hôpital va se retrouver au cœur d’un réseau de coordination, son financement soit lié à ce réseau, ce qui permettrait de traiter quiconque n’importe où pour un coût moindre que si l’intervention devait avoir lieu au sein même de l’hôpital. Qui plus est, le principe d’un partage des données en réseau (big data, équipes pluridisciplinaires) permet également au citoyen de devenir un acteur de ce collectif, ne serait-ce qu’en encourageant l’efficience d’une économie collective. La conception elle-même de l’hôpital du futur dépend de ces compétences partagées.

Propos recueillis par Christophe Leray

*Thierry Courbis a par ailleurs préfacé l’ouvrage de Louis Omnès Concevoir et Construire un hôpital numérique. Avril 2016 Editions Eyrolles.

Lire l’article sur le site...


Digital Hospital

On parle de Leader Health : un article de synthèse publié dans Finances Hospitalières. Et si la performance passait par une transformation digitale en profondeur ? Et si l’hôpital digital devenait une prochaine évidence en matière d’architecture hospitalière ?

Leader Health remercie des Hôpitaux Universitaires de Genève pour leur confiance.

Nous allons durant les prochains mois concevoir avec nos partenaires un nouveau bâtiment dédié aux urgences du canton de Genève et au-delà. L’objectif, transformer le service pour le rendre efficient, à la point de l’état de l’Art et permettre des travaux sans arrêt de l’activité. Un challenge à la hauteur des ambitions de Leader Health et ses co-équipiers.

Témoignages

«Confrontée à l’instauration d’un schéma directeur d’information au sein de l’EHPAD SOLEMNES de Tremblay et utilisatrice trop souvent limitée des nouvelles technologies, j’ai apprécié l’expertise affûtée néanmoins didactique de notre partenaire Leader Health. Nous lui devons de franchir un palier qualitatif qui nous permet de faire face plus sereinement et complètement à nos obligations réglementaires. » Dr Nativelle Médecin coordonnateur Groupe Solemnes EHPAD Tremblay-en-France

« Notre Groupe spécialisé dans la gestion des personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer se développe dans la région Ile de France. Nous avons souhaité mettre en place une politique très innovante en nous appuyant sur les nouvelles technologies. Nous avons trouvé chez Leader Health un partenaire remarquable qui nous a permis de définir notre schéma directeur en lien avec nos partenaires du court séjour et les attentes de nos clients.» Eddy CHENAF Directeur d’Etablissement Groupe Solemnes

« Le CHU de Toulouse a fait appel à Leader Health pour mesurer le ROI de technologies numériques innovantes (réanimation, anesthésie, dictée vocale, reconnaissance vocale) par rapport aux modèles nationaux éprouvés. Ces travaux ont été conduits par Thierry COURBIS Directeur Général de Leader Health et une équipe de consultants seniors qui ont déroulé une méthodologie et des outils parfaitement adaptés. Leader Health a démontré un véritable savoir-faire, une parfaite connaissance du fonctionnement de nos hôpitaux et un grand professionnalisme .» Yann MORVEZEN Directeur Systèmes d'Information et Informatique CHU Toulouse

« J’ai fait appel à Leader Health pour plusieurs projets stratégiques pour les HUG : la centralisation de nos laboratoires dans un bâtiment unique BATLAB, le projet de reconstruction de notre nouveau Bâtiment des Lits pour lequel Leader nous a fourni les éléments utiles de comparaison de notre vision avec les références internationales, et enfin, une réflexion particulièrement innovante sur la chambre patient de demain et les outils de mobilité interne. Ces travaux ont été conduits par Thierry COURBIS Directeur Général de Leader Health et les équipes mise en en place pour chaque projet ont démontré un véritable savoir-faire, une parfaite connaissance du fonctionnement de nos hôpitaux et un grand professionnalisme… » François TAILLARD Directeur Général Adjoint des HUG, Genève

« Je tenais à vous remercier pour votre remarquable travail des derniers mois. La communauté de l'hôpital vous a fortement sollicité et vous avez su répondre avec efficacité, professionnalisme et beaucoup de gentillesse. Je remercie à travers vous l'ensemble de vos équipes et je pense que vous saurez leur transmettre » Pr Rémy Nizard Président CME du GH Saint Louis Lariboisière pour le projet Nouveau CHU Lariboisière à destination du team lauréat de programmation

« Le CHR d’ANNECY a été construit en s’appuyant sur les technologies les plus modernes de son époque. Grâce aux experts de Leader Health nous avons pu mesurer l’apport de cette vision par rapport aux modèles internationaux et en dégager les objectifs de rentabilité économique. Ces travaux ont été conduits par Thierry COURBIS Directeur de Leader Health et l’équipe en place a démontré un véritable savoir-faire, une parfaite connaissance du fonctionnement de nos hôpitaux et un grand professionnalisme . A recommander. » Serge Bernard Directeur Général du CHR Annecy

« Aujourd’hui, le Centre Hospitalier Emile Durkheim - Epinal, Vosges – en coordination avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Lorraine prépare la reconstruction de son hôpital – site de Médecine Chirurgie Obstétrique. Cette nouvelle entité du CHED doit être conçue comme un hôpital de dernière génération (DHI : Digital Hospital Infrastructure), équipée en conséquence de toutes les dernières innovations issues du monde numérique et de l’industrie… Afin d’inventer collectivement les solutions fonctionnelles et innovantes de demain, nous travaillons depuis 3 ans avec la société Leader Health et certains de ses partenaires. Par son expertise, sa compréhension générale des enjeux et du fonctionnement hospitalier (son directeur est un ancien directeur d’hôpital), Leader Health nous guide efficacement dans les choix stratégiques, comme par exemple des choix structurants en matière logistique. Dr Claire PLIVARD, Pharmacien PH, Responsable Logistique et Travaux

«Le Centre Hospitalier d’Epinal a fait appel à Leader Health pour l’aider à concevoir une vision moderne et efficiente pour la construction de notre nouvel hôpital. L’équipe mise en place dirigée par Thierry COURBIS, composé d’experts français et internationaux, a été non seulement d’une redoutable efficacité mais a su convaincre nos collaborateurs et tutelle d’aller vers cette cible très innovante. Un grand bravo » Thierry Gébel Directeur Centre Hospitalier Emile Durkheim

« Nous avons fait appel aux services de Leader Health pour des missions de confiance, complexes et difficiles. L’apport de Thierry Courbis et de ses experts nous a permis de trouver des réponses particulièrement utiles à notre établissement. Nous pouvons témoigner de la qualité du travail fourni et de la richesse du réseau professionnel de cette société ». Marc PENAUD Directeur Général Adjoint CHU Grenoble Personnes à contacter:
Pierre THEPOT Directeur CH Arras
Antoine AGATHON Directeur Projet IHU Strasbourg
Professeur Jacques Marescaux Directeur IRCAD Strasbourg
Germain ZIMMERLE DSI CHU Strasbourg et coordonnateur national des DSIO de CHU France
Claude Henri TONNEAU DSI Centre Hospitalier Sud Francilien
Christiane COUDRIER Directrice Générale CHU de Nantes
Cécile JAGLIN-GRIMONPREZ Directrice Stratégie CHU de Nantes
Thomas ROUX Directeur Hôtel Dieu de Nantes
Pierrick MARTIN DSI CHU de Nantes
Thomas LECHEVALIER Chef de Projet DPI CHU de Nantes
Alex ADGAGBA Directeur Agence Médecine Préventive
Didier ALAIN ANAP
Astrid HAUGEN St Olav CHU Tromdheim
Philippe CASSEGRAIN Directeur Général Clinique Beaulieu Genève
Alexandra BALAFREJ Clinique Fondation Alliance Maroc
Susanne BERGENBRANT GLAS CHU Karolinska Stockholm
Ben MALEK Ingénieur Hôpitaux Universitaires de Genève
Bernard GRUSON Directeur Général Hôpitaux Universitaires de Genève
Bjorn Bergh CHU Heidelberg
James BISSEL Clinique de la Tour Genève
Dr Fabrice BOULARD Médecin DIM Hôpital La Basse Terre et ARS Guadeloupe
Rodolphe BOURRET CHU Directeur Général Adjoint CHU de Montpellier
Fabrice BRUNET CHU Sainte Justine Montréal
Docteur Marie Pierre CHAILLET Médecin DIM CHU de Nantes
Dr Philippe CHANDERNAGOR ANAP
Dr Arnaud HANSSKE expert SI FHF
Jacqueline HUBERT Directrice Générale du CHU de Grenoble
Bruno LAVAIRE DSI Centre Hospitalier de BEAUVAIS
Luc Olivier MACHON Directeur Finances CHU de Nantes
Eric MANŒUVRIER Directeur pôle Finances et système d’information CHU de Nantes
Jacques LEGLISE Directeur Général CHU de Toulouse
Marie Agnès SAUTIER DSI Hôpital Princesse Grace Monaco
Mme Valérie BERNARD, Présidente de la CME Hôpital Princesse Grace de Monaco
Philippe SUDREAU Directeur Général Groupement Hôpitaux Saint Louis Lariboisière APHP
Philippe LECA DSI CHU Lariboisière APHP
Pr Rémi Nizard Président CME CHU Lariboisière APHP
Philippe DOMY Directeur Général du CHU Montpellier
Jean Bernard DUPUY Ingénieur Logistique et Chef de Projet AMO Logistique et Pharmaceutique
M. LETOEUF Directeur Général Médical CHIREC Bruxelles
M. LEFEBURE CEO Cliniques CHIREC Bruxelles
Nicolas CAMPESTRE Directeur Adjoint CH Basse Terre
Pauline MAISANI Directrice de la Stratégie CHU Montréal
Anne Claire SWAN Directrice Adjointe CHU Nantes
Dr Benoit DEBANDE, Directeur Système Information HUG, Suisse
M. Jocelyn BOUCHER, Directeur Finances et Logistiques du CHU de Montréal
M. André GUINET, CEO American Hospital of Paris
M. Christian PAIRE Directeur général CHU Montréal, Canada

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